Ricoh 500 G

Propriété de Sylvain Halgand. Photo(s) de Sylvain Halgand et texte de Sylvain Halgand. Dernière modification le 2022-11-27 par Sylvain Halgand.

Fabriqué ou assemblé en Japon de 1972 à (Postérieur à) 1972.
Rareté en France : Peu courant (dans les vide-greniers non spécialisés)
N° inventaire : 1448

Fiche technique complète

Chronologie des appareils Ricoh

La mise au point se fait par un télémètre couplé. L' objectif est un Rikenon de 2,8/ 40 mm d'utilisation assez universelle. Il y a un contrôle d'exposition, par une cellule CdS (couplage de 25 à 800 asa), avec priorité à la vitesse. Il fonctionne également en mode manuel, en choisissant vitesse et diaphragme . Dans le viseur apparaissent les informations suivantes : valeur de l'ouverture, sur et sous exposition par zones rouges, Indicateur "M" en position manuelle.

La batterie d'origine était un modèle au mercure 1.35 volt. Le mercure étant interdit, elle peut être remplacée par une LR44 ou similaire.
L'appareil peut aussi fonctionner sans batterie à toutes les vitesses en position manuelle, grâce à l'obturateur central mécanique à 7 vitesses 1/8, 1/15, 1/30, 1/60, 1/125,1/60, 1/125, 1/250, 1/500 + pose B

L'appareil est doté de deux contacts pour flash : une griffe pour flash electronique et une prise synchro pour lampe-flash.

Cet appareil existe en deux finitions : chromée ou noire.

Non content d'être beau, ce petit télémétrique est performant. Sa notoriété explique son prix encore élevé.

Photo : Jean Pierre Grzelczak

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Ce diagramme réalisé par VB nous permet de mesurer la complexité de l'histoire de Ricoh.

1913	Quelques scientifiques japonais ont l'idée de créer un institut de recherche
1915	La proposition de création de l'institut de recherche physico-chimique Rikagaku Kenkyùsho passe au parlement japonais
1917	L'institut et la fondation Riken sont créés
1927	La Rikagaku Kõgyõ K K est créée pour fabriquer et diffuser des produits issus de la recherche tels que les papiers photographiques.