Ansco Speedex

Propriété de JCB. Photo(s) de JCB et texte de JCB. Dernière modification le 2023-10-30 par Sylvain Halgand.

Fabriqué ou assemblé en Etats-Unis de (Circa) 1946 à (Postérieur à) 1946.
Rareté en France : Rare (dans les vide-greniers non spécialisés)
N° inventaire : 11826

Fiche technique complète

Chronologie des appareils Ansco

Les Isolette sont des foldings horizontaux utilisant le film 120. Ce sont d'abord des bi-formats 6 x 6 et 4,5 x 6, puis après la guerre, des 6 x 6 uniquement.

Le premier modèle s'appelle simplement Isolette. Il s'est appelé quelques temps Isorette. Ce sera le seul modèle de 1938 à la guerre. A partir des années 50, la gamme s'élargit.
Les Isolette I sont simples et remplacent les Isolette initiales. Les Isolette II sont proches, avec un obturateur de meilleur niveau. Les Isolette III ont un télémètre non couplé. Les Isolette V sont extrèmement simples, même plus que les modèles d'avant-guerre. Comme ce furent les premières à avoir été fabriquées après la guerre, on peut supposer qu'Agfa cherchait juste à vendre un appareil simple à fabriquer et à la vendre à moindre prix, dans une Allemagne encore en ruines. L'Isolette L a un posemètre non couplé. La Super Isolette a un télémètre couplé.

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L'Ansco Speedex est une Isolette fabriquée en Allemagne et importée aux Etats-Unis, entre 1946 et 1950. Une plaque rivée sur l'appareil porte le logo Afga et l’inscription : « MADE FOR ANSCO BY AGFA CAMERA WERKE - MUNCHEN GERMANY. »

L’objectif est un Agfa Agnar 4,5/85 mm monté sur un obturateur Vario (A.G.C.) offrant la pose B et trois vitesses : 1/25, 1/50 et 1/200, avec prise de synchro-flash. Un petit curseur placé sur le côté de l’obturateur permet de coincer le levier de déclenchement pour les poses longues. Cet accessoire est repéré par la lettre T et une flèche indiquant qu’il faut relever le curseur.
La mise au point se fait par rotation de la lentille frontale, qui est graduée en pieds de 3 à l’infini avec marques en rouge sur 10’ et 30’.
Il n’y a aucun dispositif pour prévenir les surimpressions, et il ne dispose même pas, comme l’Isolette, d’un calculateur de profondeur de champ.