Olympus Trip AF 50

Propriété de Jean-Paul Houdan. Photo(s) de JPH et texte de JPF. Dernière modification le 2022-09-09 par Sylvain Halgand.

Fabriqué ou assemblé en Chine de 2002 à (Postérieur à) 2002.
Rareté en France : Courant (dans les vide-greniers non spécialisés)
N° inventaire : 7035

Fiche technique complète

Chronologie des appareils Olympus

L'habitude d'appeler certains de ses compacts du nom de TRIP est bien ancrée chez Olympus. En 1968, le premier de la série s'appelait Trip 35 et eut tellement de succès (10 millions d'unités en 15 ans) que son nom fut utilisé pour de nombreux descendants, pas toujours au même niveau de qualité.

Au Salon de la Photo de Paris (SIPI) de 1996, Olympus présente deux appareils démarrant une nouvelle gamme portant le célèbre nom. Il s'agit du Trip AF 30 et du Trip 300. Le Trip AF 31 est absent de la présentation.
Les trois appareils sont semblables et présentent des similitudes esthétiques avec la série des célèbres Mju sans toutefois prétendre à les ègaler sur le plan technique.

Le Trip 300 est un fixfocus, sa vitesse d'obturation est fixée au 1/60. Son flash automatique n'est pas débrayable.
Le Trip AF 30 est autofocus, son flash est débrayable et le mode Fill-in qui faisait merveille sur les Mju est présent. Sa vitesse d'obturation est au 1/125.
Le Trip AF 31 est identique au AF 30 mais il est doté en plus d'un retardateur.

Comme il s'agissait de modèles à bas prix, les pièces à valeur ajoutée étaient fabriquées au Japon puis réparties entre les usines de Chine ou des Philippines pour l'assemblage.

Quelques années plus tard, en 2002, les remplacants s'appelleront Trip 500, Trip AF 50 et Trip AF 51. La gamme suivra le même découpage. Le progrès principal est la motorisation intégrale des trois modèles.

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La série 500, 50 , 51 suit le même découpage que la série 300, 30 et 31, donc le 50 est le milieu de gamme. L'élégance de son habillage bi-ton ne doit pas faire oublier qu'il s'agit d'un appareil basique sur lequel les réglages sont réduits au maximum, et que seule la mise au point, assistée par l'autofocus, reste à la charge de l'utilisateur.
Le petit curseur situé en façade permet de découvrir l'objectif, qui est protégé au repos par un volet, et de mettre sous tension l'appareil.
Le flash se met automatiquement en service lorsque la lumière est insuffisante, un témoin lumineux situé à côté du viseur indiquant la charge.
Le rembobinage est déclenché à l’aide d’un petit curseur situé sous la semelle. Il est possible à mi-rouleau.